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Happy Days : le podcast des années 60 et 70

Podcast Happy Days : le podcast des années 60 et 70
Nostalgie+
Happy Days, le podcast 100% années 60 et 70, vous replonge dans les souvenirs marquants de cette époque iconique ! Chaque jour de la semaine, redécouvrez des hi...

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  • 1963, Carmen Curlers et la révolution du bigoudi électrique
    Nous sommes en 1963. Happy Day pour un jeune entrepreneur danois, Arne Bybjerg (AHNE BUE-BIIIR). Ce dernier tombe, par petite annonce interposée, sur une invention inattendue : un prototype de bigoudi électrique. Dans le monde de la mise en plis traditionnelle, avec de longs séchages et d’interminables séances sous casque, cette curiosité a de quoi surprendre. Pourtant, Arne en est convaincu : ce rouleau chauffant peut révolutionner la coiffure. Ah, le bruit enivrant du séchage des cheveux dans un salon de coiffure…Malmené dans son enfance, notre Arne a soif de reconnaissance et rêve de prouver son talent. En lisant une petite annonce parlant d’un « bigoudi électrique », il flaire le potentiel d'une invention inédite. Il consacre le peu d’argent qu’il possède à développer et peaufiner cet objet pourtant si banal au premier abord : le bigoudi.Aux yeux de la société danoise, Arne est considéré comme un fou. Les dettes s’accumulent, personne ne croit qu’un simple rouleau capable de chauffer puisse changer le destin des femmes et de la coiffure. Mais notre inventeur persiste. Il réunit autour de lui des femmes au foyer, des agricultrices, leur proposant un emploi d’assemblage et de commercialisation du fameux bigoudi électrique. Ainsi naît l’ébauche de Carmen Curlers...Carmen Curlers, son entreprise, comptera bientôt 3 500 employés, principalement des femmes, créant un succès fou et une indépendance nouvelle pour beaucoup d’entre elles. Et pourtant, les bigoudis, ce n'est rien de très nouveau. Ils existent depuis le 19e siècle. Les premiers étaient des rouleaux de plomb minuscules recouverts de fibres de cuir. Une fois chaussés, ils permettaient de friser les cheveux et leur donner du volume. Avec Carmen Curlers, on passe au plastique, toujours sous sa forme cylindrique. Il suffit d'enrouler les mèches dessus et de les fixer avec une petite aiguille. Et la pub va s'en donner à coeur joie !Du jaune au rose fluo, le bigoudi va évoluer avec le temps et connaître son apogée dans les années 70 grâce au séchoirs-casques. Les femmes pourront même porter le bigoudi durant la nuit, en mousse souple avant d'autres modèles... recouverts de Velcro. Oh, que ce fut un happy day en 1963 pour notre génie danois. Ses bigoudis électriques deviendront un succès phénoménal partout dans le monde. Si bien qu'en 1969, il vendra sa société à American Clairol avant de déménager en Australie... c'était son rêve et il l'a réalisé...
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    3:06
  • Décembre 1961, Dalida triomphe sur la scène de l’Olympia
    Nous sommes le 8 décembre 1961. Sur la scène de l'Olympia, le Happy Day n’est pas gagné d’avance. Dalida doit défendre son titre de Madone. C'est quitte ou double. Il faut dire que l'année a été tumultueuse. Certes, le soleil finit toujours par briller, mais pour cela, il faut un bon orage….Le 8 avril 1961, Dalida épouse Lucien Morisse. Elle obtient alors enfin la nationalité française. Son mari n'est autre que le directeur des programmes d'Europe numéro 1, mais aussi le fondateur du label Disc'AZ. Un label dont les bureaux sont ceux... de la radio privée. C'est lui qui importe en France le concept américain de playlist, c'est à dire la multi-diffusion d'un titre afin d'en faire un tube. Lucien Morisse fait la pluie et le beau temps dans le monde de la musique. Il a découvert Petula Clark, Christophe, Pascal Danel et un certain Michel Polnareff. Pour Dalida, ce n'est pas ce que l’on peut appeler un mariage d'amour, mais plutôt un remerciement pour celui qui a fait d'elle une vedette. Pourtant, le 8 avril 1961…Je vous parlais des orages de la vie. Et pour cause. Au festival de Cannes, où les photographes ne manquent aucun geste des jeunes mariés, Dalida fait une rencontre impromptue, inattendue. Celle d'un jeune peintre. Il s'appelle Jean Sobieski. Un seul baiser suffira, capturé au téléobjectif, pour changer le regard que la profession porte alors sur Dalida. Le public est plus mesuré. D'accord, on la siffle ça et là durant ses vacances, mais le problème principal s'appelle Lucien Morisse. Des clans vont se former, la presse se déchaîner. Peu importe, Dalida est tombée ,amoureuse. Jean Sobieski se souvient très bien d'elle, en 1961...Il n'y a pas d'amour heureux, dit-on. Dalida portera ce fardeau durant plusieurs mois, jusqu'en décembre 1961, sur la scène de l'Olympia. Le public est là, mais dans l'expectative. Le concert s'ouvre sur trois chansons légères. Puis, comme une forme de confession au tribunal, elle expose sa version des faits : « Je ne sais pas pourquoi je vivais. Je ne savais pas à quoi je pensais. Maintenant, je le sais. »Le public se lève, se dresse, unanime, comme un seul homme, touché en plein cœur par cette sincérité, débordante, crue, nue. En ce happy day du 8 décembre 1961, Dalida se sent vivre, parce qu'elle aime et parce qu'elle est aimée de Jean Sobieski....
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    5:13
  • 1977: "Orca", le thriller aquatique de Michael Anderson est dévoilé
    Nous sommes le 7 décembre 1977. Happy Day pour Michael Anderson. Deux ans après l’incroyable succès des "Dents de la mer", le réalisateur dévoile un nouveau film aquatique qui va donner des frissons à la planète entière : il s’intitule « Orca ».Cette fois, le danger ne vient pas d’un requin blanc, mais (comme son nom l’indique en version originale) d’un orque prêt à tout pour défendre sa famille. Le tournage se déroule en partie à Malte, à Redwood City en Californie, ainsi que dans une petite ville de province de Terre-Neuve-et-Labrador au Canada, entre juin et octobre 1976.C'est un coproduction entre l'Italie et la Grande-Bretagne. À l'affiche, Charlotte Rampling.L'histoire est celle du capitaine Nolan. Il revend les animaux qu'il capture à des aquariums. Un jour, il rencontre Rachel (campée par Charlotte Rampling), professeur d'université passionnée par les orques. Nolan se met alors en tête d'attraper un de ces animaux. En tentant de capturer l'animal, il blesse mortellement l'orque femelle qui était sur le point de mettre bas.Autant dire que le mâle, furieux, va prendre en chasse le bateau du capitaine et le poursuivre jusqu'à ce qu'il obtienne vengeance.Au-delà du scénario, l’ambition du producteur Dino De Laurentiis est d’exploiter la vague de film d'horreur marin lancée par Spielberg, tout en proposant une approche plus dramatique — mettant en scène l’intelligence de l’orque et, surtout, la culpabilité humaine.Problème : la sortie du film ne se solde pas par un triomphe critique ou commercial. Le public voit en "Orca" un ersatz de "Jaws" (Les dents de la mer) sans la même force de mise en scène.Il faudra du temps pour que le long-métrage de 92 minutes gagne son statut de film culte auprès des passionnés de cinéma. Notamment la scène finale... Toujours aussi terrifiante.En ce happy day du 7 décembre 1977, les cinémas tremblent devant "Orca". Mais ils vont rapidement fondre grâce à un élément capital de la production, la bande originale. Le générique de fin "My Love, We Are One", est composée par Ennio Morricone et interprétée par la voix sublime de Carol Connors…
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    4:29
  • 1970, "Aujourd’hui Madame", l’émission dédiée aux femmes au foyer, voit le jour
    Nous sommes le 19 mai 1970. Happy Day pour les mères au foyer. Elles auront désormais droit à leur propre émission, juste après la vaisselle de midi. Oui, je sais, mais nous sommes bien en mai 1970. Sur la deuxième chaîne couleur de l’ORTF, un nouveau magazine quotidien fait ses premiers pas. Une émission imaginée par Armand Jammot, qui va ouvrir la programmation de l’après-midi, dès 14 h 30. Et c'est évidemment un homme qui la présente. Il s'appelle Alain JEROME.Cette émission, diffusée donc du mardi au samedi, s'appelle « Aujourd’hui Madame ». Elle est destinée aux femmes au foyer. Mais c'est surtout la première émission à occuper ce créneau horaire en milieu de journée.Elle alterne plateaux et reportages, explorant des thèmes de société susceptibles d’intéresser un large public féminin : la famille, la mode, la santé, la vie pratique… Elle s’adresse avant tout à ces femmes au foyer, souhaitant être informées et diverties en pleine après-midi.Je rappelle donc que nous sommes en 1970.L'une des invitées (de la première émission) est l'actrice Françoise ROSAY. Question : quelles sont pour elle les choses importantes de la vie ?On apprendra donc que ce qui importe, c'est donc la bonne santé, une hygiène de vie convenable. Selon elle, "chacun peut être heureux en regardant et en appréciant ce qu'il a." Elle donne également son opinion sur l'amour, et la nouvelle génération de comédiennes.L'émission est un peu figée à ses débuts, mais elle va rapidement évoluer pour devenir plus décontractée. Aux commandes, plusieurs visages se succèdent ou se relaient : Jacques Garat, Nicole André, Alexa… Mais aussi d’autres chroniqueurs et chroniqueuses comme Maud Sacquard de Belleroche ou encore Patrice Laffont.Ah oui tiens, Patrice Laffont. En 1973, il organise une émission sur les femmes avec, sur le plateau, uniquement des hommes...Patrice Laffont et ses invités, tous masculins, je le rappelle, vont définir leur femme idéale. Allez hop, un petit exemple de ce qu'on disait sur le plateau...Le 19 mai 1970 reste donc dans les mémoires des femmes au foyer de l'époque un happy day, celui où un magazine a commencé timidement, avec un peu de condescendance, à s'adresser à elles. « Aujourd’hui Madame » tiendra l’antenne jusqu’au 15 janvier 1982. Avec un générique cultissime !
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    4:11
  • 1963, lancement de "Surfin' USA", hymne californien des Beach Boys
    Nous sommes le 4 mars 1963. Happy Day pour un jeune groupe californien. Il s’apprête à conquérir le monde avec un titre qui fleure bon la culture locale : « Surfin' USA ». Ce 45 tours va marquer la naissance commerciale du seul groupe américain capable, à cette époque, de rivaliser avec les Beatles et les Rolling Stones.Il y a fort à faire, car en ce moment, ces derniers triomphent à la télé américaine avec ceci...Ce succès ne fait pas peur à notre groupe californien. Ils s'appeleront "Beach Boys".Formée deux ans plus tôt, la troupe est composée de trois frères, de leur cousin et d'un ami. Leur trouvaille est géniale : ils vont créer une nouvelle forme de musique, qu’on appellera “surf music”, avec des harmonies vocales élaborées, mais très mélodiques.« Surfin' USA » est la créature de Brian Wilson. D’ailleurs, il sera le compositeur de la plupart des succès des Beach Boys.Tout commence par une histoire d’amour : Brian sort avec Judy Bowles, dont le frère, Jimmy, est passionné de surf. Son inspiration, c'est cette chanson :« Surfin' USA » s'enracine donc dans la lignée de « Twistin' USA » de Chubby Checker. Encore faut-il des paroles. Brian décide de créer une chanson énumérant les spots de surf californiens. Il demande à Jimmy de dresser une liste de tous les endroits mythiques pour y glisser les noms dans le texte. Quitte à prendre quelques libertés avec son état natal, puisque la chanson évoque aussi des spots à Hawaii et en Australie. Prenez votre planche, on y va !Autant dire que les paroles résonnent, aux USA, mais aussi dans le reste du monde. Le titre sort et grimpe aussitôt dans les classements. 3e meilleure vente en Amérique du Nord en mars 63, excusez du peu !Mais un problème se pose : la mélodie rappelle fortement une autre mélodie...C'est vrai qu'à l'écoute, c'est assez clair ! Chuck Berry reconnaît la patte de "Sweet Little Sixteen" et c'est parti pour un tour de menaces de poursuites judiciaires, Chuck Berry sera crédité comme seul auteur-compositeur, sans aucune mention de Brian Wilson. Cela dit, la carrière des garçons est lancée, la chanson triomphe malgré tout. À la fin du mois du mars, elle reparaît comme première piste de leur premier grand album. Ils n'iront pas chercher son titre bien loin, ce sera (aussi) “Surfin' U.S.A”..Alors, à n'en pas douter, les Beach Boys se souviendront du 4 mars 1963 comme le Happy Day qui leur a permis de contrer l'invasion des groupes britanniques, la fameuse British Invasion, avec un morceau qui fleure bon la Californie, la plage et l’insouciance. Un titre qui amorce, l'air de rien, la formidable aventure des Beach Boys.
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    3:44

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Über Happy Days : le podcast des années 60 et 70

Happy Days, le podcast 100% années 60 et 70, vous replonge dans les souvenirs marquants de cette époque iconique ! Chaque jour de la semaine, redécouvrez des histoires fascinantes de vos idoles et de ces années d'or : de la folie yéyé aux légendes de la chanson française et internationale comme Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Jacques Brel, Daniel Balavoine, les Beatles, les Rolling Stones, les Kinks, Françoise Hardy, Dutronc, Annie Cordy, les Shadows, Ray Charles, Dave, Sheila, Alain Delon, Nicoletta, Michèle Torr, et bien d'autres. Ce podcast explore le rock and roll, le twist, le punk, le disco, le funk, ainsi que les concerts mythiques, le cinéma et les séries TV cultes de l’époque, la télévision, sans oublier les découvertes scientifiques et les actualités marquantes en Belgique. Raconté comme un album souvenir des jours heureux, chaque épisode de Happy Days vous invite à revivre des moments positifs et joyeux, pour un voyage nostalgique unique au cœur des playlists des années 60 et 70, de 1960 à 1980.
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